Journal d’Eugène Delacroix,1849 : De doux sentiments amoureux…
Eugène Delacroix a pour sa cousine Joséphine de Forget de doux sentiments amoureux… et il lui écrit en 1849 de la campagne :
« Amuse-toi bien, chérie, et pense à moi. Je t’ai vue en rêve avant-hier et je te conterai tout cela. C’était fort joli, mais n’était pas au-dessus de ce que la réalité accorde quelques fois. Ecris-moi aussi si tu as rêvé de moi, en attendant que je t’embrasse en chair et en os. Adieu, chère chérie. Mille tendresses des plus tendres. Aussitôt ta réponse, je te répondrai longuement et tendrement. »
« Amuse-toi bien, chérie, et pense à moi. Je t’ai vue en rêve avant-hier et je te conterai tout cela. C’était fort joli, mais n’était pas au-dessus de ce que la réalité accorde quelques fois. Ecris-moi aussi si tu as rêvé de moi, en attendant que je t’embrasse en chair et en os. Adieu, chère chérie. Mille tendresses des plus tendres. Aussitôt ta réponse, je te répondrai longuement et tendrement. »
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